Plus précisément : Ishihana, autrement dit « fleur de pierres »
Certains textes de cette page sont extrait de page de l’encyclopedie en ligne Wikipedia.
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Plusieurs chose pour la réalisation de stone balance :
D’un point de vue mécanique, chaque pierre doit être soutenue par au moins trois points d’appui, de sorte à former un tripodeisostatique par encastrement. La sculpture équilibriste paraît d’autant plus élancée et impressionnante que les points du tripode sont proches.
La gravité est le ciment de ces sculptures étonnantes
À première vue, on pense que ces compositions improbables sont assemblées grâce à un produit liant ou bien soutenues par une structure interne. Mais l’artiste assure que la seule « colle » qu’il utilise est la gravité.
Michael Grab détaille sa technique pour trouver l’équilibre, il faut un minimum de trois points d’appui pour chaque pierre, afin de former un tripode naturel leur permettant de rester calées les unes sur les autres dans un équilibre parfait.
Sa technique pour déceler ces points cruciaux pour l’équilibre de la structure ? Dédier beaucoup de temps à l’observation et à l’écoute attentive de la surface des pierres. En effet, les pierres semblent émettre des « clicks », sortes de vibrations spécifiques, lorsque ces points sont atteints. Ces « bruits » sont difficilement perceptibles, et pour les déceler, il faut beaucoup d’expérience et tâtonner millimètre par millimètre.
Bon tralala, peu importe, n’importe qui peut se faire plaisir. Avec un peu de patience et d’entrainement. Ensuite c’est une question de sensibiité et d’esthétique.
Et surtout vous allez voir une chose surprenante : lorsqu’une personne y arrive les premières fois, elle ne peut s’empêcher d’avoir un vrai et franc sourire d’enfant, oui ça c’est garanti.
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Pour les scientifique de la bande :
Hyperstatisme
Le but de l’assemblage des pièces est de réaliser une ou plusieurs fonctions. Une des fonctions peut consister à être une structure immobile (bâtiment, pont…), ou bien à réaliser un travail (par exemple déplacer une charge). Dans tous les cas, chaque pièce est en contact avec plusieurs autres, ce qui va d’une part limiter les mouvements de chaque pièce, et d’autre part permettre la transmission d’efforts.
En mécanique du solide, l’hyperstatisme est la situation d’un assemblage pour lequel le fonctionnement se fait avec plus de contraintes que ce qui est strictement nécessaire pour le maintenir, ce qui signifie qu’au moins un degré de mobilité d’une pièce est supprimé plusieurs fois.
À l’inverse, on parle d’isostatisme lorsque le fonctionnement se fait sans contrainte excessive ou pour être plus rigoureux si le principe fondamental de la dynamique suffit à déterminer toutes les inconnues de liaisons du mécanisme. Ainsi, la mobilité d’une pièce d’un assemblage est nécessairement limitée ; certains degrés de mobilité sont supprimés, mais chaque degré de mobilité n’est supprimé qu’une seule fois.
On parle également d’hypostatisme lorsque l’assemblage possède trop de mobilités. D’un point de vue mécanique, au moins une pièce conserve au moins une possibilité de mouvement (au moins un degré de mobilité) qui est nuisible au fonctionnement. Si c’est un mécanisme, il va présenter des instabilités, des mouvements parasites ; si c’est une charpente, elle ne tiendra pas.